Le diesel nous tue à petit feu. Le vin nous fragilise. Le shit nous fait perdre la tête. La vitesse tue. Le thermomètre nous affole. La marée nous noie, la noire nous pollue. La pluie mouille. Le bruit nous assaille. Les hôpitaux ne soignent plus. Les banques nous ruinent. Les entreprises ferment. Les voitures ne roulent plus. Notre jeunesse n’a plus d’avenir. Les météorites nous visent. Mes voisines se marient. Le bœuf se transforme en cheval. Le cheval se transforme en viande Allal. Les OGM nous transforment l’ADN. Les pesticides nous rendent stériles. Le gaz de schiste pollue notre eau. Les éoliennes gâchent la vue. Les centrales nucléaires vont exploser. Les drogues envahissent nos cités. Les terroristes aussi. Les médocs ne soignent plus. Les vaccins nous empoisonnent. Les cantines ne servent plus. Les « Linky » nous fliquent. La 5G rend maboule. Les marchands de tranquillisants ne produisent pas assez et Trump est de retour !
La fin des humains nous attend au tournant promettent les tenants du grand remplacement qui ne font que remplacer les idiots de la fin du monde en l’an 2000. Putain ! quel monde de pétochards, de niais, de lavettes, de lâches, d’imbéciles, qui nous volent notre insouciance, le plaisir de vivre, la joie des découvertes, les challenges stimulants, les défis à relever. Le marché des mauvais augures est au plus haut en ces temps de disette et d’incertitude. Dans les tribus de certaines peuplades, il suffisait que le gourou, le griot, le chaman ou encore le sorcier, déclare que tel individu devait mourir pour que, par la simple suggestion, ce dernier mis au banc de la collectivité, dépérisse, pour mourir enfin sous la pression psychologique qui lui était imposée. Voilà ce que font les médias aujourd’hui, ces porteurs de messages délétères, multipliant volontairement des mots d’effroi face aux cruelles réalités du monde. Finalement nous ne crevons pas de toutes ces misères promises, annoncées, non, nous crevons de peur, tout simplement. Oui, vite, un ministère des coups de pieds au cul ! Signez la pétition … ou redressez la tête et faites face !